Illustration par Jampur Fraize
Mon ami, afin que ton dimanche ne soit pas perdu, je t'enjoins fortement à lire la dernière chronique de l'ami Serge C., du taillé au rasoir, efficace comme un coup de pied dans les burnes... où j'ai l'insigne honneur de l'ouvrir!
PLEASE KILL ME : LE CHAPITRE BELGE
Par Serge Coosemans - 25 juin 2016
Une poignée de questions ouvertes, une petite dizaine d’intervenants, certains connus, d’autres non. Des punks de 1976, des punks de 1986, des punks de 1994, des punks de 2016. A la Please Kill Me de Legs Mc Neil, l’un des meilleurs bouquins sur le punk jamais publié, voici une petite histoire orale et éclatée d’un genre, d’une esthétique et d’un mode de vie qui n’ont jamais cessé d’évoluer, ni de subjuguer. Y compris en Belgique.
1 | Teenage kicks
Jean-Michel Snoeck (la quarantaine,tatoueur, auteur de Mémoires d’un Tatoueur) : « Le punk, c’était toute ma jeunesse, une révolte, mais par nature un truc nécessairement éphémère (no future) ! Cette éphémèrité (ho, le vilain mot) fait des jeunes punks des enfants qui se déguisent avec une panoplie. »
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